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La fin des plastiques à usage unique

De plus en plus de pays sautent le pas et prennent des décisions pour interdire les plastiques à usage unique. En effet, la pollution plastique est un problème majeur n’importe où sur le globe; représentant 85% des déchets marins, elle menace la faune et la flore et contamine la chaîne alimentaire, touchant finalement l’Homme.

Pour y remédier, l’Union Européenne interdit en 2021 la vente de certains plastiques jetables et l’Ecosse l’a suivi quelques mois après. Plus récemment, c’est l’Inde qui les a rejoint en interdisant de fabriquer, stocker ou vendre ces mêmes plastiques. Le pays a également prévu des punitions très sévères à quiconque ne respecterait pas les nouvelles normes, allant d’une amende de 1200 euros à une peine d’emprisonnement de 5 ans.

Il faut tout de même savoir que la liste des plastiques à usage unique est bien précise et des normes strictes existent à ce sujet. Celle-ci comprend notamment les sacs plastiques, les lingettes humides, les ustensiles de cuisine et pailles en plastique ou encore les tiges de ballons de baudruche.

Il existe pourtant plusieurs solutions pour éviter de consommer ces produits et le consommateur a un grand rôle à jouer dans cette lutte. Investir dans des produits réutilisables comme une gourde, des emballages en verre, des protections menstruelles lavables permet de réduire drastiquement sa consommation de plastique. Vous pouvez également apporter vos propres sacs en toile lorsque vous faites vos courses ou vous procurer des petits sacs pour fruits et légumes. Éviter les produits suremballés ou apporter votre propre tasse à café quand vous prenez à emporter fait aussi partie des petits gestes faciles à adopter.

Les filtres de cigarettes contiennent également du plastique très nocif pour l’Homme et l’environnement lorsqu’il brûle ou se retrouve abandonné dans la nature. Les mégots font malheureusement partie des principaux déchets retrouvés sur les plages ou sur les côtes.

https://www.plastalliance.org/une-nouvelle-definition-du-plastique-a-usage-unique

https://lepetitjournal.com/bombay/actualites/plastique-usage-unique-interdit-inde-341608

https://www.swissinfo.ch/fre/a-quel-point-le-plastique-%C3%A0-usage-unique-est-il-un-probl%C3%A8me-/47373404


La fin des moteurs thermiques

Dans la nuit du 28 au 29 juin 2022, les États membres de l’Union Européenne ont approuvé le projet de la Commission européenne de réduire à zéro les émissions de CO2 des voitures neuves en Europe à partir de 2035. Cette mesure implique qu’il ne serait plus possible de fabriquer et vendre des véhicules thermiques neufs sur le marché à partir de cette date. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ?

D’ici 2035, les constructeurs automobiles seront obligés de ne mettre sur le marché plus que des véhicules dit zéro émission. Ces véhicules n’émettent aucune pollution directe, c’est-à-dire aucun gaz d’échappement. Les principaux concernés sont les véhicules à hydrogène et les véhicules 100% électriques.

La plateforme Carbo Academy a tenté de calculer l’empreinte carbone d’une voiture thermique en comparaison avec celle d’une voiture électrique.  Il en résulte notamment les chiffres suivants :

Phase / MotorisationThermiqueEléctrique
Fabrication400836
Utilisation1800120
Total2200956
Comparaison des émissions de GES en kg/C02 pour 10’000km parcourus en France

Il faut prêter attention aux facteurs d’émission des différents mix électriques qui diffèrent selon les pays (par exemple, conduire un véhicule électrique et le recharger sur le réseau américain émet 7 fois plus de CO2 qu’en France). Ici ce dernier a été estimé en calculant la moyenne des 3 types de véhicules électriques fournis par Ademe (ancienne Agence de Transition Écologique, c’est elle qui a créé et gère la Base Carbone, une base de données publique de facteurs d’émission).

Les véhicules électriques ne constituent pas une solution parfaite car l’empreinte carbone de leur production n’est pas neutre, mais leur empreinte globale reste plus faible que celle d’un véhicule thermique (une voiture électrique émet 22% de CO2 de moins qu’une voiture diesel et 28% de moins qu’une voiture essence) et des solutions sont en cours de développement pour réduire cet impact tout au long du cycle de vie de ces véhicules. L’acceptation de ce projet par le Parlement Européen début juin s’est faite dans le cadre du Green Deal qui a pour but d’atteindre la neutralité carbone au sein de l’Union Européenne en 2050. L’acceptation de cette mesure par les 27 États membres quelques semaines plus tard a confirmé leur volonté d’atteindre les objectifs climatiques fixés en s’attaquant aux transports qui, d’après leurs estimations, sont responsables d’environ 30% des émissions totales de CO2 de l’Union Européenne. 

Les véhicules électriques, une solution durable ?

La voiture électrique est souvent présentée comme la solution écologique par excellence aux véhicules thermiques. Or, une analyse de son cycle de vie montre que la voiture électrique ne constitue pas un véhicule propre à l’heure actuelle. Ceci est principalement dû à deux éléments : la phase de production de la voiture électrique qui a un impact environnemental important (principalement à cause de la production de sa batterie) et le mix électrique avec lequel le véhicule s’alimente qui a également des conséquences néfastes sur l’environnement.

Cependant, des études montrent que l’empreinte écologique des véhicules électriques pourrait être réduite à l’avenir, notamment grâce à l’utilisation de sources d’énergie renouvelables et à d’importantes améliorations sur les batteries au lithium.

Algrain, Maxime. Les voitures électriques sont-elles réellement propres ? Analyse du cycle de vie de la voiture électrique. Louvain School of Management, Université catholique de Louvain, 2017. Prom. : Jourquin, Bart. Available at: <http://hdl.handle.net/2078.1/thesis:11287> [Accessed 21 September 2022].

Ayoun, L., 2022. Quelle est l’empreinte carbone d’une voiture thermique vs électrique ? [online] Hellocarbo. Available at: <https://www.hellocarbo.com/blog/calculer/empreinte-carbone-voiture/#:~:text=Pour%20une%20voiture%20thermique,15%20000%20kilom%C3%A8tres%20par%20an.> [Accessed 14 September 2022].

Ducoulombier, E., 2022. Le Parlement européen vote l’interdiction de la vente des véhicules thermiques neufs en 2035. [online] Libération. Available at: <https://www.liberation.fr/environnement/pollution/le-parlement-europeen-vote-linterdiction-de-la-vente-des-vehicules-thermiques-neufs-en-2035-20220608_3XAMNODNPVCLPMA6OYCLQ7TFHU/> [Accessed 13 September 2022].

rts.ch. 2022. Fin des voitures à moteurs thermiques acceptée par les pays membres de l’UE. [online] Available at: <https://www.rts.ch/info/monde/13209007-fin-des-voitures-a-moteurs-thermiques-acceptee-par-les-pays-membres-de-lue.html#:~:text=Les%2027%20Etats%20membres%20de,la%20fin%20des%20moteurs%20thermiques.> [Accessed 14 September 2022].


Une batterie faite … de papier !

Les fils, les écrans et les batteries qui composent nos appareils – sans parler du plastique, du métal et des autres matériaux qui les recouvrent – remplissent les décharges de débris dangereux. Certains déchets électroniques sont relativement volumineux : vieux téléphones à clapet, climatiseurs et radios, pour ne citer que quelques articles courants. D’autres déchets électroniques sont plus insidieux, comme les kits de diagnostic médical électroniques à usage unique, les capteurs environnementaux et les étiquettes intelligentes qui contiennent des piles jetables et d’autres équipements.

Pour contribuer à la résolution de ce problème, des chercheurs suisses du Laboratoire Fédéral Suisse pour la Science et la Technologie des Matériaux (EMPA) ont mis au point une pile en papier dotée d’un interrupteur à eau qui pourrait être utilisée pour alimenter des appareils électroniques jetables à usage unique.

Ils ont testé la pile en papier en attachant deux d’entre elles à l’écran numérique d’un réveil. Après avoir été activée par deux gouttes d’eau, l’écran a été allumé pendant 20 secondes et a alimenté de manière constante pendant une heure, jusqu’à ce que la pile commence à sécher. La source d’énergie en papier a atteint une tension maximale stable de 1,2 volt, contre 1,5 volt pour une pile AA.

Une fois que l’équipe aura résolu certains problèmes de développement, ce système pourrait être utilisé dans des objets à usages uniques, comme des étiquettes intelligentes permettant de suivre des objets tels que des colis. Selon les chercheurs, d’autres applications sont possibles, comme les capteurs environnementaux ou même les appareils médicaux. Mais même sans modifications pour l’empêcher de se dessécher, l’interrupteur à eau pourrait être utile pour détecter l’humidité.

Le papier et le zinc étant biodégradables, les chercheurs pensent que la pile pourrait contribuer à réduire l’impact environnemental des appareils électroniques à usage unique.

Comment fonctionne la pile en papier ?

Pour fabriquer la pile, l’équipe a commencé par une bande de papier qui avait été plongée dans de l’eau salée, puis laissée à sécher. De l’encre contenant des flocons de graphite a été imprimée sur un côté de la bande pour former la borne positive de la batterie. De l’autre côté, de l’encre contenant de la poudre de zinc a été utilisée pour constituer la borne négative.

Les deux côtés du papier ont ensuite été recouverts d’un mélange de flocons de graphite et de noir de carbone (comme la suie sur les légumes carbonisés) pour relier les côtés négatif et positif. Lorsqu’on ajoute de l’eau, le sel se dissout et libère des ions chargés. À la borne négative, ces ions entrent en contact avec le zinc, ce qui provoque son oxydation (le même processus qui fait rouiller le métal) et libère des électrons.

Un appareil électrique connecté à la pile en papier complète alors le circuit, ce qui signifie que les électrons peuvent circuler de la borne négative à la borne positive à travers l’appareil. Ils sont ensuite libérés dans l’air.

Dans l’ensemble, ce processus génère un courant électrique qui peut être utilisé pour alimenter un appareil électronique.

https://www.empa.ch/web/s604/wasser-aktivierte-batterie

https://www.scientificamerican.com/article/scientists-invent-a-paper-battery-just-add-water/

https://www.nature.com/articles/s41598-022-15900-5

(Poulin, A., Aeby, X. & Nyström, G. Water activated disposable paper battery. Sci Rep 12, 11919 (2022). https://doi.org/10.1038/s41598-022-15900-5)


Un pas vers la durabilité de la part de l’EPFL.

L’EPFL vise une neutralité carbone, et a comme objectif de passer à une utilisation de 100% d’énergie renouvelable pour chauffer et refroidir ses bâtiments. Lorsque le projet de rénovation de la centrale thermique a émergé, l’ancien responsable de l’unité Durabilité, Philippe Vollichard, a milité pour développer un système plus durable.

Les travaux ont débuté en 2019 et se sont terminés en 2021. L’EPFL a agrandi et assaini son ancienne centrale thermique, en remplaçant les pompes à mazout par une nouvelle conduite lacustre ainsi qu’une nouvelle station de pompage en plus de celles déjà existantes. Cette installation fournit plus de 50% de l’énergie nécessaire à l’EPFL.

Cette nouvelle centrale thermique accumule plusieurs sources d’énergie renouvelables :

La source principale provenant du lac Léman : l’eau est acheminée dans la station de pompage et redirigée vers les pompes à chaleur, où l’énergie est extraite et convertie en chaleur exploitable pour chauffer les bâtiments. En remplaçant les pompes à mazout par les pompes à chaleur, l’EPFL a réussi à réduire son émission de CO2 de plus de 18’000 tonnes par an.

Afin de valoriser les énergies fournies par l’eau du lac, et ainsi optimiser son utilisation, l’installation est couplée au serveur informatique de l’EPFL. Il s’agit d’amener les rejets froids des pompes à chaleur vers le réseau de refroidissement du data center. En contrepartie, la chaleur générée par ce dernier, notamment lorsque les utilisateurs surfent sur internet ou envoient des emails, est réinjectée dans le système de chauffage.Avec ce système de compensation, une réduction de 60% d’unité d’électricité est mise en place.

De plus, des panneaux photovoltaïques recouvrent entièrement les façades ainsi que le toit du bâtiment.

En plus de la production thermique renouvelable mise en place par l’EPFL, ce dernier envisage d’exploiter l’espace à l’Est du bâtiment pour composter les déchets végétaux du campus ainsi que les restes alimentaires des cafétérias pour produire du biogaz.

Cet avancement servirait de démonstration de possibilité de transition énergétique en termes de centrale thermique.

https://www.ictjournal.ch/articles/2022-09-08/lepfl-inaugure-sa-centrale-thermique-qui-puise-dans-la-chaleur-de-son            

https://www.epfl.ch/about/sustainability/fr/energie/cct/   

https://actu.epfl.ch/news/une-centrale-de-chauffe-qui-cumule-les-energies–3/


De la défensive à l’attaque

Les avocats pour le climat de la Suisse romande se réunissent pour créer une association sans but lucratif pour le climat. L’objectif est de donner « un nouveau souffle » à la justice climatique, en faisant remonter les affaires climatiques dans les tribunaux suisses. Cette association grandissante est également composée d’experts, de professeurs de droite et d’étudiants.

Jusqu’à maintenant, les avocats se voyaient défendre les activistes pro climat poursuivis par l’Etat pour leur engagement climatique. Mais ayant « marre d’être toujours du côté de la défense », comme l’affirme Irène Wettstein, les avocats de la suisse romande passent à l’offensive. Ceci semble s’avérer nécessaire car, d’après le conseiller national et membre fondateur de l’association, Raphaël Mahaim, « la justice suisse n’est pas encore à la hauteur de l’enjeu climatique ». Concrètement, ils veulent mettre en place des procès contre les entreprises polluantes ainsi que des procédures empêchant des constructions autorisées mais illégales. Deux premiers plans d’actions ont été annoncés vendredi 16 septembre. La première procédure accuse la Confédération pour le non-respect des exigences de la loi sur le CO2. La deuxième est visée contre les entreprises pratiquant le greenwashing, prétendant investir pour des fonds écologiques et durables.  

Actuellement au niveau suisse romande, cette association souhaite gagner de l’ampleur en encourageant des avocats du climat alémanique à se joindre à eux. Une collaboration avec des ONG internationales ayant la même idéologie.

https://www.swissinfo.ch/fre/toute-l-actu-en-bref/des-avocats-romands-du-climat-s-associent-pour-passer-%C3%A0-l-offensive/47906114

https://www.tdg.ch/des-avocats-romands-sunissent-pour-passer-a-loffensive-666048834870


Plus sur la liste: les animaux sauvés!

Alors que de nombreux animaux rejoignent la liste des espèces en voie de disparition chaque année, il est important de célébrer et de prendre note de ceux qui en sortent. 

Examinons une liste non exhaustive de quelques animaux qui ne sont plus en danger et concentrons-nous sur la manière de les aider à rester en sécurité. 

1. On pensait que les vautours en Europe avaient complètement disparu et cela posait de gros problèmes car ces oiseaux sont d’excellents nettoyeurs, notamment des cadavres d’animaux morts. Les programmes de réintroduction aident les vautours à retourner dans les pays européens, en veillant à ce que leurs habitats ne soient plus menacés et en les protégeant de l’empoisonnement. Depuis, leur population a considérablement augmenté.

2. Le lynx eurasien avait complètement disparu d’Europe centrale et était même considéré comme éteint, mais récemment il a été réintroduit dans de nombreux pays européens, dont la Suisse ! Mais ils courent toujours le risque d’être chassés, bien que de nombreuses lois soient en vigueur.

3. Le rhinocéros blanc du Sud, autrefois considéré comme éteint, mais qui vit maintenant en grands troupeaux dans de nombreux pays africains dans des réserves de gibiers protégés. Cette espèce peut même aider une autre espèce de rhinocéros en voie de disparition à rester en vie par croisement. Leurs cornes sont toujours recherchées, ce qui expose cet animal à un risque élevé de braconnage.

Il est important d’aider les programmes de conservation et de protection des animaux pour s’assurer qu’aucune autre espèce animale ne disparaisse. Les conséquences vont bien au-delà de l’espèce mais aussi de son environnement et de la vie humaine. Nous devons remercier ces animaux et tout ce qu’ils font pour nous en les gardant en vie !

Cependant, il faut se rappeler que ce n’est pas toujours une bonne chose pour les espèces elles-mêmes de se faire enlever de cette liste. Parce qu’il arrive que la perte de telles étiquettes fasse également perdre aux espèces leurs protections inculquées par le gouvernement. Ainsi, ils sont toujours confrontés à des menaces dont la plupart sont causées par l’homme. La perte de biodiversité, causée par le rétrécissement d’une espèce, met son environnement en danger et peut menacer d’autres animaux, plantes ainsi que la faune qui occupent également cet habitat. À plus grande échelle, cela peut également provoquer un impact négatif sur la vie humaine. Ce ne sont là que quelques-unes des raisons pour lesquelles la conservation des animaux est si importante pour maintenir une biodiversité stable.

Masterson, Victoria. “8 Endangered Species That Are Being Reintroduced around the World.” World Economic Forum, 10 Aug. 2022,

https://www.weforum.org/agenda/2022/08/endangered-species-reintroduced-biodiversity/.

Webber, Jemima. “7 Species That Are No Longer Endangered, and How to help them Stay That Way.” Plant Based News, 22 Apr. 2022,

https://plantbasednews.org/news/animal-species-no-longer-endangered/.


Amateur de café : de nouvelles « capsules » débarquent sur le marché 

Après 5 ans de recherches, Migros lance sous la marque « CoffeeB » de nouvelles dosettes de café ; pas n’importe lesquelles. En effet, il s’agit de petites boules de cafés moulues, pressées dont la membrane est biodégradable et entièrement compostable. Ces dernières sont uniquement utilisables avec la machine créer à cet effet. 

Est-ce un futur durable dans le marché du café ? 

Il n’est pas sans savoir que plus de 60% des ménages en Suisse possèdent une machine à café. Nespresso étant leader sur le marché avec plus de centaines de capsules compatibles. Il n’est pas sûr que les ménages soient prêts à changer leurs habitudes et machines. 

D’après Migros, il s’agit effectivement d’une prise de risque. Les résultats seront uniquement visibles d’ici 4 à 5 ans ; soit la durée de vie d’une machine classique.

Une belle anticipation encourageant les futurs acheteurs à se diriger vers un nouveau système plus écologique au moment de changer leur appareil. 

Oui, il existe des capsules réutilisables. Il suffit juste de les recharger avec son café ce qui peut être contraignant à certains moments de la journée, notamment le matin si l’on est pressé. Ces boules de café se suffisent à elle-même.

Toutefois, les machines à grain, à pressoir, ont déjà conquis les amateurs de cafés et sont pas moins écologiques : 0 capsule. 

Le marché du café étant très fourni du moins au plus écologique et du plus au moins cher. Aujourd’hui, il est plus facile de trouver son bonheur à son budget, alors pourquoi pas favoriser le bonheur de la planète en évitant les déchets de capsules à outrance.

https://www.rts.ch/info/economie/13362437-migros-affiche-de-nouvelles-ambitions-dans-le-cafe-avec-une-dosette-sans-capsule.html

https://www.bilan.ch/story/migros-invente-la-capsule-de-cafe-100-compostable-263781909489